Janvier et février sont les mois ou l’on a le plus de chance de rencontrer des renards en binômes. C’est en effet la période où le rut commence chez cet animal.
L’observation de l’espèce peut alors sembler plus facile du fait de l’insouciance du moment, mais il ne faut pas oublier que l’addition de 2 regards peut vite repérer notre présence et compromettre nos chances de belles images.
L’émotion provoquée est double mais attention au mouvement malencontreux, au moindre bruit ou au vent qui tourne!
Pour éviter le minimum de dérangement, mieux vaut être un peu loin de la scène, comme ici sur les sommets du Jura.



Autre rencontre un peu lointaine en plaine avec ces images, prises tôt le matin avec peu de lumière. Il s’est écoulé tout de même 55minutes entre la première et la dernière photo !








Parfois, sans chercher de proximité, les animaux viennent d’eux-mêmes devant le photographe. Cela s’appelle avoir de la chance, chance provoquée par les nombreuses heures passées à l’affût !
Ici c’est un écureuil dans l’arbre qui vient perturber la rencontre!


Les rencontres peuvent aussi se faire pendant l’été. Ici, nous sommes au mois d’août 2015, les jeunes de l’année sont déjà bien grands ! Cette rencontre m’a particulièrement touché de par ses moment de tendresses sauvages







Texte et photos: Gilbert Fortune